Hanouka: Laïcité flinguée

En célébrant Hanouka,fête juive,Macron et ses laquais piétinent encore la laïcité.Comme quand il s'était rendu à une messe du pape.Surtout,il oppose les citoyens,vu que ds le même temps il interdit l'abbaya,par ce fait discrimine les arabes et musulmans.L'extrême droite le salue. Plus ce type reste au pouvoir, plus les français sont opposés. Macron sème le chaos. Il nous rapproche du précipice. En célébrant Hanouka et se rendant à une messe, il renforce les fachos dans leur "racines judéo-chrétiennes". La France est laïque et Macron la piétine pour mener une politique fasciste. Ils ostracisent les musulmans, l'abbaya n'est pas un vêtement religieux mais culturel, par contre on sait qui la macronie vise avec cette mesure réactionnaire. De plus, si l'abbaya était religieux ce serait le droit des femmes musulmanes de le porter, y compris au sein d'établissement scolaire. Comme tout bon fasciste, Macron crée des tensions, il fragmente la société française. Les chefs religieux n'ont pas leur place à l'Élysée, le chef d'un État laïc n'a pas sa place à des cérémonies religieuses. La loi de 1905 est très claire, l'État se doit d'être neutre en ce qui concerne la religion.

"La laïcité garantit aux croyants et aux non-croyants le même droit à la liberté d'expression de leurs croyances ou convictions. Elle assure aussi bien le droit d'avoir ou de ne pas avoir de religion, d'en changer ou de ne plus en avoir."

Voilà, ce qui est inscrit sur le site du gouvernement. Il est facile de constater que la France de Macron ne respecte pas ce principe, elle bafoue la laïcité dont le principe est la neutralité de l'État et de permettre la justice, l'égalité entre les différentes communautés religieuses. La Macronie, comme plusieurs gouvernements précédents, discrimine les musulmans et donne des privilèges aux juifs et catholiques. Quant aux athées, la macronie ne les évoque jamais, il serait donc hors de propos de les considérer comme privilégiés ou discriminés. Néanmoins, leurs droits ne sont jamais questionnés.